Échos et ricochet

Soit soi, soit soit : un choix de soi-étang : échos et ricochet de soi-étant

Portée d’un choix, confus. Sourire. Pourquoi pas, simple.

dehors :

<< combien de temps ? loin de cela, pourtant. QuOI POURTANT QUOI ; jE suis la… près de toi. ET MOI, tu es la… et où allons nous? LOIN très LOIN ; bien. Et ENSUITE. QU’entendons-nous ? ; une voix. QUE DIT telle ? Telle crie DU HAUT DES CHOIX>>.

En aval des possibilités,et sans trêve, de ce qu’on appell-ait abilité à vouloir ÊTRE POUVANT PLUS QUE PUISSANT.

Sourire. POURQUOI PAS ; il y a beaucoup de quoi pour sourire. JUSQU’au bout des lèvres, des dents, du contentement. Contentement de beaucoup de quoi?

Mésentente constante confuse. Portée d’un choix / CELUI DE SOURIRE, celui de dire beaucoup de quoi. JUSQU’AU BOUT DES LèVRES sentir une salive qui n’est pas la notre mais celle de notre hargne, repoussante face à ça, bestiale face à ceux.

Qui ? soi ?! plutôt le ce-qui-ne-devrait-pas-être-soi-,-en-soi-,en-dessous- : deça-de-soi. l’idée cryptée de l’image-de-soi, une réalité dérivée : naufragée ? Pas de grille de lecture. IL n’y a que soi qui soit. Et beaucoup de quoi.

La SALiVE DE NOTRE HARGNE, car si elle n’était pas, il y aurait pleurs salés, amers de notre cœur, un poids qui dit « je ne peux pas ». Puis déjà couché, puis le désert après moi, puis soi qui est déjà coupable et préfère pactiser avec ses diables, puis qu’est-ce…ce soi minable QUI SE BALLADE AU-DElà DE SOI-agissant, surgissant en vrai, en non-négociable car toujours soi.

Les ACTES possèdent une élasticité qui peut nous revenir à la figure.

hARGNE SALIVANTE CAR PAS POSSIBLE DE SE LAISSER CARESSER PAR LA TRISTESSE, DELAISSé par l’estime de soi qui s’est évaporée lentement …était-ce un nuage? CE FUT UNE déPRESSION, le ciel était creux. TANT MIEUX ; il ne tomberait plus sur la tête.

Lassé de l’expression « vivre » ; en n’oubliant pas d’y mettre soi… Parce que pas de raison d’être soi…pas de quoi ? pourquoi?

Déjà passé par l’espoir or par là rien de possèdable quand face à , la réalité…attirés tour à tour par futurement possible et impossible présent, écouter ! L’ABSURDE EN TRAIN DE s’éCROULER ; AVEC SOI EN DESSOUS.

Décidément NON, pas possible de se laisser envelopper dans des draps moelleux-satinés : odeur d’aigreur politique,parfum d’aveuglement narcissique réciproque ,de soi à soi : le vinaigre a trop tourné, la sueur aide à oublier ; odeur d’ironie qui ne rigole plus que par répétitivité , Nota Bene : éviter d’hésiter à être blasé. Que par répétitivité : comme un bourré qui boit après avoir vomi trois fois. Pouah ! Non, pas pas-possible, pas-passable : plutôt pas voulable.

Vrai Nota Bene : éviter de dévier est voulable.Déblatérer pour voiler son rien-dire, une parodie décidée d’exister enveloppée dans des draps moelleux. Pourquoi planer quand on peut s’envoler ? PAS VOULABLE de se laisser endormir, incruster, enliser…enfumé ; applaudir prostré, oppresser… Embaumé par la tristesse et ses puits douillets avec vue imprenable sur de faux cieux : des yeux céciteux sur des nuages creux . Ceux face à qui bestialité, envie de tuer l’idée voilée vue derrière eux alors hargne. Carnassière car Assez!, car Pas-ça!car pas voulable, Éjectées, éructées les carapaces polies, dorées. Le rapace est appât si pas soi folie d’oser.

Dehors :

<<Volontaires, soyez pour les Suivants voués à être vivants. Saisissez vos tombes, vivants-mort>>.

Telle crie du haut des choix :<< Portée d’un choix …confus! Sourire… !!! >>

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